Une question vient donc se poser: avec la montée en puissance des réseaux sociaux, ne nous pensons pas tous journalistes?

Il n’est un secret pour personne que la nouvelle ère du numérique a provoqué de grands bouleversements dans le monde. Le journalisme a lui aussi été touché. Mais ce changement a-t-il été positif ou négatif? Dans tous les cas, il y aura-t-il des répercutions et par ailleurs, le metier du journalisme est-il toujours aussi fiable?

Nous allons tout d’abord présenter de manière contextuelle, en quoi la démocratisation de journalisme de presse va mené à la surévaluation des supports sociaux puis la manière dont les réseaux sociaux gèrent la liberté d’expression de ses utilisateurs. Ensuite, les lois qui encadrent de manière juridique mais aussi les normes et valeurs de ces nouveaux portes paroles de l’internet. Nous allons aussi voir si ces réseaux sociaux sont une aide ou au contraire, une ombre aux médias dits « traditionnels ». Et enfin, nous exposeront l’influence qu’offre internet sur la presse et ses journalistes de presse.

Les réseaux sociaux sont une forme spécifique de coordination entre acteurs et inclut le capital social, soit l’ensemble des relations personnelles qu’un individu peut mobiliser dans son intérêt. En ses, un réseau social est égal à un ensemble d’entités sociales reliées entre-elles par des liens crées lors des interactions sociales. En effet, nous acquérons grâce aux réseaux sociaux, un réseau de sociabilité au-delà des contacts physiques, nous devenons capables d’entretenir B relation avec B personne partout dans la planète. Nous avons ainsi conscience que nous sommes entourés de millions de personnes et qu’il y a plus de critères d’appartenances relationnelles que sociodémographiques.

Selon Robert Metcalfe « Ce qui est intéressant, c’est plutôt comment beaucoup de relations sont maintenues étant donné que Facebook vous permet de lire sans échanges », c’est celui qui a prodiguer le protocole de réseau informatique Ethernet, devenu norme internationale dont la loi explique que « l’utilité d’un réseau est proportionnelle au carré du nombre de ses utilisateurs ».

Les réseaux sociaux permettent de faciliter des contacts professionnels et de developper le réseau de relations. Selon Mark Granouetter, les « liens faibles » nous relient à des personnes qui évoluent dans un environnement différent des nôtres donc elles peuvent nous apporter des informations ou opportunités qu’on aurait pas pu connaître. Ils nous permettent d’avoir d’autres informations que ceux de nos proches. Cela montre l’intérêt des réseaux sociaux.

 

Une réflexion sur “Le journalisme et les réseaux sociaux: une frontière de plus en plus floue

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